En régate la licence assure notre responsabilité civile (dommages aux autres) ainsi que les dommages aux personnes.
La sécurité est assurée par l'organisation des régates et c'est pourquoi il est bon de signer la feuille de départ et de retour de régate (surtout) quand les participants sont nombreux!!
Pour un 505 neuf d'un prix non négligeable avoir le "corps" du bateau, c'est à dire sa valeur, assurée en tous risques , c'est faire preuve de prévoyance.
Mais pour les dériveurs relativement anciens ou d'une valeur vénale faible, il est trés difficile de trouver un assureur. Souvent des dériveurs et même des 505 ne sont pas assurés en dehors de la licence.
La Resposabilité Civile familiale des contrats d'assurance peut fonctionner pour des dommages causés à autrui, mais qu'en est il du rapatriement de l'épave en cas de gros pépin, ou du remboursement des recherches en mer
Ceci vaut surtout pour les dériveurs qui pratiquent un peu isolés. Bien sûr il faut prévenir la famille, les amis que l'on part, et compte retourner vers telle ou telle heure, en indiquant ou l'on va à peu prés
, et avoir consulté la météo auparavant.
Connaissez vous des cas où les secours ont dû intervenir , et les conséquences qui en ont suivies.
Il commence à faire beau dans le sud, alors à vos écoutes
assurances bateau
Modérateurs : BASTIAN, Eric, J P Noclain, Philippe Blanchard
-
- barreur National
- Messages : 151
- Inscription : 17 janv. 2004 15:46
- Localisation : Antibes-St Laurent du Var
- Contact :
assurances bateau
505,écoute au taquet, te mouilles le nez
-
- Moussaillon
- Messages : 6
- Inscription : 10 oct. 2005 10:57
- Localisation : Bourg en Bresse
Assurance bateau
Je vais vous raconter une histoire vécue :
Plantons le décor : CARNON (à coté de la Grande Motte) le 17 Décembre 2005
Conditions Atmosphériques : Ensolleillé mais froid (air a 10° et eau a 7°, Mistral entre 27 et 33 noeuds, mer plate
Conditions de navigation : Nouvel équipier, peu entrainé, donc limite dans ces conditions de vent. J'assure le confort de l'équiper, ce qui n'était pas facile dans ces conditions de vent (trés raffaleux) Il arriva ce qui devait arriver. En sortant au trapéze sur le bras, mon équiper décroche son crochet, et comme nous étions bon plein se retrouve en 1 seconde a 6 m du bateau qui chavire 25 mètres plus loin malgré mes efforts.
Je redresse 1 fois, hurle à mon équiper de rentrer à la nage (il était à 150m de la plage) essaie de le rejoindre mais rechavire sur une grosse saute de vent.
Je re-redresse avec difficulté et a peine hissé sur le bateau je rechavire une troisième fois en voulant débloquer le GV, déchirant alors le caoutchouc du bras droit de ma combi sèche.(j'ai des chausons étanches sur cette dernière, je vous laisse imaginer le cheminement de l'eau) Le bateau se mets chapeau et dérive lentement. Je réussi, malgré 10 litres d'eau dans chaque jambe a me hisser sur la coque et m'assieds patiemment en attendant des secours. (Surtout de pas lacher le bateau)
Un croiseur passe à 200 m ne me vois pas dans un premier temps, puis apercoit la coque et le type a coté de la dérive (qui commence a avoir un peu froid) Il fait alors demi tour, me recueille a bord me demandant ce que je veux faire. Je lui dit que retrouver mon équipier et m'assurer que tout va bien pour lui est prioritaire. Nous abandonnons le bateau survolé alors par un hélico de la protection civile qui hélitreuille mon équiper a 50 m de la plage puis le dépose sur cette dernière.
Ouf ; Je pense alors au bateau qu'il faut récupèrer. En nous retournant nous apercevons le bateau de la SNSM qui est à coté de la coque retournée. je me dis TVB..... Erreur funeste, la SNSM à littéralement massacré le bateau. Coût de l'opération plus ou moins 2000 €, à ma charges car je n'avais pas assuré la "barque"
Tableau Arr arraché, haubans et draille de foc coupés, voiles déchirées pont décolé et un peu "maché" par une hélice de hors-bord, pied de mat tordu bref la cata
A coté de ça j'apprends qu'une assurance pour le bateau coute entre 60 et 150 €.
Vous voyez donc le différentiel. Ne naviguez pas sans assurance
L'assurance RC de la license est obligatoire (avec une franchise de 300€), le rachat de la franchise de 300€ pour 18 € et l'assurance du bateau quasi indispensables.
A méditer
Plantons le décor : CARNON (à coté de la Grande Motte) le 17 Décembre 2005
Conditions Atmosphériques : Ensolleillé mais froid (air a 10° et eau a 7°, Mistral entre 27 et 33 noeuds, mer plate
Conditions de navigation : Nouvel équipier, peu entrainé, donc limite dans ces conditions de vent. J'assure le confort de l'équiper, ce qui n'était pas facile dans ces conditions de vent (trés raffaleux) Il arriva ce qui devait arriver. En sortant au trapéze sur le bras, mon équiper décroche son crochet, et comme nous étions bon plein se retrouve en 1 seconde a 6 m du bateau qui chavire 25 mètres plus loin malgré mes efforts.
Je redresse 1 fois, hurle à mon équiper de rentrer à la nage (il était à 150m de la plage) essaie de le rejoindre mais rechavire sur une grosse saute de vent.
Je re-redresse avec difficulté et a peine hissé sur le bateau je rechavire une troisième fois en voulant débloquer le GV, déchirant alors le caoutchouc du bras droit de ma combi sèche.(j'ai des chausons étanches sur cette dernière, je vous laisse imaginer le cheminement de l'eau) Le bateau se mets chapeau et dérive lentement. Je réussi, malgré 10 litres d'eau dans chaque jambe a me hisser sur la coque et m'assieds patiemment en attendant des secours. (Surtout de pas lacher le bateau)
Un croiseur passe à 200 m ne me vois pas dans un premier temps, puis apercoit la coque et le type a coté de la dérive (qui commence a avoir un peu froid) Il fait alors demi tour, me recueille a bord me demandant ce que je veux faire. Je lui dit que retrouver mon équipier et m'assurer que tout va bien pour lui est prioritaire. Nous abandonnons le bateau survolé alors par un hélico de la protection civile qui hélitreuille mon équiper a 50 m de la plage puis le dépose sur cette dernière.
Ouf ; Je pense alors au bateau qu'il faut récupèrer. En nous retournant nous apercevons le bateau de la SNSM qui est à coté de la coque retournée. je me dis TVB..... Erreur funeste, la SNSM à littéralement massacré le bateau. Coût de l'opération plus ou moins 2000 €, à ma charges car je n'avais pas assuré la "barque"
Tableau Arr arraché, haubans et draille de foc coupés, voiles déchirées pont décolé et un peu "maché" par une hélice de hors-bord, pied de mat tordu bref la cata
A coté de ça j'apprends qu'une assurance pour le bateau coute entre 60 et 150 €.
Vous voyez donc le différentiel. Ne naviguez pas sans assurance
L'assurance RC de la license est obligatoire (avec une franchise de 300€), le rachat de la franchise de 300€ pour 18 € et l'assurance du bateau quasi indispensables.
A méditer
06 22 12 28 46
salut alain
heuseusement, tout finit bien (je pense aux bonhommes). il y a deux ou trois ans, à sarzeau (56), un équipage n'a pas eu cette chance. Ils sont partis en plein hiver, pas spécialement équipés, encore moins entrainés, dans le piaule. Après de multiples chavirages, l'équipier, épuisé, a préféré rentrer à la nage sur la plage à quelques centaines de mètres.
Le pauvre vieux a été retrouvé, plusieurs jours après, du côté de belle ile si ma mémoire est bonne (ca fait quelques dizaines de miles) sans vie.
Je ne veux donner de leçons à personne, je n'ai pas de légitimité pour celà. Ceci étant on sait tous ce que représente de faire du cinquo dans la baston : c'est déjà dur avec un bon équipage, alors avec un débutant, c'est la galère. quand en plus, il ne fait que quelques degrés dehors, c'est presque de la folie.
Il faut éviter de naviguer seul dans de telles conditions où la casse n'est pas à exclure.
vous êtes passés à côté du drame fort heureusement, mais ne recommencez pas ce que j'appelle une grosse connerie.
le propriétaire du bateau est chef de bord et responsable de son équipage
t'as beau être assuré, si tu ne ramène pas ton équipier tu auras du mal à trouver le sommeil le soir je pense.
En outre, je trouve que les données financières du problème sont très déplacées par rapport à l'enjeu humain. Pourquoi ne pas parler du coût du sauvetage. ? (hélico, snsm,...) Tu aurais au moins pu avoir un mot gentil pour tes sauveteurs dans ton récit.
heureusement pour vous que la solidarité des gens de mer existe, sans elle, je ne me serais pas énervé ce soir, parce qu'il n'y aurait peut être pas eu récit.
Si je peux reprendre ta conclusion, ce n'est pas "ne naviguez pas sans assurance" mais "ne naviguez pas sans l'assurance de rentrer par vos propres moyens et en vie"
laurent bernadac
fra 8717 - rennes
06.22.61.28.79.
heuseusement, tout finit bien (je pense aux bonhommes). il y a deux ou trois ans, à sarzeau (56), un équipage n'a pas eu cette chance. Ils sont partis en plein hiver, pas spécialement équipés, encore moins entrainés, dans le piaule. Après de multiples chavirages, l'équipier, épuisé, a préféré rentrer à la nage sur la plage à quelques centaines de mètres.
Le pauvre vieux a été retrouvé, plusieurs jours après, du côté de belle ile si ma mémoire est bonne (ca fait quelques dizaines de miles) sans vie.
Je ne veux donner de leçons à personne, je n'ai pas de légitimité pour celà. Ceci étant on sait tous ce que représente de faire du cinquo dans la baston : c'est déjà dur avec un bon équipage, alors avec un débutant, c'est la galère. quand en plus, il ne fait que quelques degrés dehors, c'est presque de la folie.
Il faut éviter de naviguer seul dans de telles conditions où la casse n'est pas à exclure.
vous êtes passés à côté du drame fort heureusement, mais ne recommencez pas ce que j'appelle une grosse connerie.
le propriétaire du bateau est chef de bord et responsable de son équipage
t'as beau être assuré, si tu ne ramène pas ton équipier tu auras du mal à trouver le sommeil le soir je pense.
En outre, je trouve que les données financières du problème sont très déplacées par rapport à l'enjeu humain. Pourquoi ne pas parler du coût du sauvetage. ? (hélico, snsm,...) Tu aurais au moins pu avoir un mot gentil pour tes sauveteurs dans ton récit.
heureusement pour vous que la solidarité des gens de mer existe, sans elle, je ne me serais pas énervé ce soir, parce qu'il n'y aurait peut être pas eu récit.
Si je peux reprendre ta conclusion, ce n'est pas "ne naviguez pas sans assurance" mais "ne naviguez pas sans l'assurance de rentrer par vos propres moyens et en vie"
laurent bernadac
fra 8717 - rennes
06.22.61.28.79.
-
- Modérateur
- Messages : 727
- Inscription : 28 déc. 2003 13:45
- Localisation : Montpascal
- Contact :
-
- Barreur International
- Messages : 1380
- Inscription : 25 déc. 2003 11:36
- Localisation : Sofia
- Contact :
Sur le fond, c'est vrai qu'il ne faut pas plaisanter avec la sécu. Nous avons été très rigoureux sur ce chapitre dans nos sorties à Sarzeau ce qui nous a permis de gérer bien des incidents sans mal.
Alain sortait en 4,70 et non en cinquo, et ceux qui connaissent ce dériveur savent qu'il est beaucoup plus sage que notre cinquo et moins toilé. Son spi est beaucoup plus petit - et tenir la baston avec ce bateau est plus accéssible - là je ne parle pas d'aller super vite mais de gérer la survie...
Souvent le vent en méditérrannée souffle de terre - et on a moins conscience du sport que c'est sur l'eau lorsque l'on est encore au bord.
C'est par conséquent assez facile de se faire surprendre.
Alain n'est pas un nouveau venu et j'imagine qu'il a été surpris et dépassé par les évènements - Fort heureusement les choses se sont bien terminées pour tout le monde.
Sur un point, j'aimerai avoir votre avis... je préconise de rester avec le bateau et de ne pas essayer de retourner au bord seul à la nage... c'est très difficile en effet de repérer un nageur seul dans les vagues alors qu'une coque retournée avec des zouaves faisant des signes se remarquent facilement... qu'en pensez vous ?
Alain sortait en 4,70 et non en cinquo, et ceux qui connaissent ce dériveur savent qu'il est beaucoup plus sage que notre cinquo et moins toilé. Son spi est beaucoup plus petit - et tenir la baston avec ce bateau est plus accéssible - là je ne parle pas d'aller super vite mais de gérer la survie...
Souvent le vent en méditérrannée souffle de terre - et on a moins conscience du sport que c'est sur l'eau lorsque l'on est encore au bord.
C'est par conséquent assez facile de se faire surprendre.
Alain n'est pas un nouveau venu et j'imagine qu'il a été surpris et dépassé par les évènements - Fort heureusement les choses se sont bien terminées pour tout le monde.
Sur un point, j'aimerai avoir votre avis... je préconise de rester avec le bateau et de ne pas essayer de retourner au bord seul à la nage... c'est très difficile en effet de repérer un nageur seul dans les vagues alors qu'une coque retournée avec des zouaves faisant des signes se remarquent facilement... qu'en pensez vous ?
jbdupont(at)free.fr
FRA 8329
FRA 01 ou 201 en (VRC)
Sofia (Bulgarie)
Courbevoie et Sarzeau (France)
SR VANNES
AVRV (VRC)
FRA 8329
FRA 01 ou 201 en (VRC)
Sofia (Bulgarie)
Courbevoie et Sarzeau (France)
SR VANNES
AVRV (VRC)
-
- Barreur de club
- Messages : 95
- Inscription : 27 mai 2005 9:00
- Localisation : Neuchâtel (Suisse)
Perso, je navigue depuis tout petit. On m'a toujours dit, dans tous les cours de formation, camps, ... de ne jamais quitter le bateau.
Par concéquent, je ne tenterai jamais de rentrer à la nage (sauf cas extrème, bateau coulé, ...).
Juste pour comparer, je ne sais pas si vous êtes des adeptes de la nage, mais en piscine, ça m'est déjà difficile de nager 50 mètres en maillot de bain, alors maintenant, faire 150 mètres avec combi, bottillons, gilet dans un état de stress dû à la situation...
Par concéquent, je ne tenterai jamais de rentrer à la nage (sauf cas extrème, bateau coulé, ...).
Juste pour comparer, je ne sais pas si vous êtes des adeptes de la nage, mais en piscine, ça m'est déjà difficile de nager 50 mètres en maillot de bain, alors maintenant, faire 150 mètres avec combi, bottillons, gilet dans un état de stress dû à la situation...

si j'ai bien compris l'équipier était déjà loin du bateau, ma propre expérience démontre qu'un bateau dessalé peut dériver largement plus vite qu'un nageur avancer. Alors je pense qu'il n'y a pas de règles, ça dépend si on est éloigné de la plage de la marée du courant, si on est au vent ou sous le vent du bateau... Mais si on tient le bteau, alors oui il ne faut pas le lacher
5o5 Lanaverre 2992
j'ai connue ! il y a qq annees dans un grain
4 bateaux chavirees sur 6
la secue ne pouvait aider tout le monde en meme temps
un bateau coulait
mais a niveau zero ! il ne coulait plus
l'equipage pouvait rester desus
apres pour le redresser et sortir de l'eau c'etait autre chose
mais je pense qu'il faut jamais quitter le bateau
4 bateaux chavirees sur 6
la secue ne pouvait aider tout le monde en meme temps
un bateau coulait
mais a niveau zero ! il ne coulait plus
l'equipage pouvait rester desus
apres pour le redresser et sortir de l'eau c'etait autre chose
mais je pense qu'il faut jamais quitter le bateau
-
- Moussaillon
- Messages : 2
- Inscription : 30 sept. 2005 19:44
- Localisation : un Francais FRA8742 en Belgique BEL8363
- Contact :
Deux anecdotes.
- Apres avoir redresse le bateau dans un grain , celui ci est reparti avec seulement son equipier pour chavirer une dizaine de metre plus loin.
Le bateau sur la tranche -et son equipier sur la derive- vont bien plus vite qu'un nageur, qui sépuise alors tres vite, a essayer de rattraper. Alors mettez vous d'accord une fois pour toute avec votre equiper/barreur: en pareille situation, laissez le bateau partir en cloche; la trainnée de voile dans l'eau empechera tout derive; Autre detail, c'etait à Troyes et je pensais le port de la brassiere inutile...grosse erreur!
- Lors d'une de mes premiere sortie en cinquo en mer, mon frangin a profité d'un vent qui s'est levé pour faire des exercices de chavirages. Au bout de quelques chavirages nous nous sommes alors assis sur la coque et avons attendus pour soufler un peu ...avant de redresser et rentrer... cet excercice m'a beaucoup servi depuis.
- Apres avoir redresse le bateau dans un grain , celui ci est reparti avec seulement son equipier pour chavirer une dizaine de metre plus loin.
Le bateau sur la tranche -et son equipier sur la derive- vont bien plus vite qu'un nageur, qui sépuise alors tres vite, a essayer de rattraper. Alors mettez vous d'accord une fois pour toute avec votre equiper/barreur: en pareille situation, laissez le bateau partir en cloche; la trainnée de voile dans l'eau empechera tout derive; Autre detail, c'etait à Troyes et je pensais le port de la brassiere inutile...grosse erreur!

- Lors d'une de mes premiere sortie en cinquo en mer, mon frangin a profité d'un vent qui s'est levé pour faire des exercices de chavirages. Au bout de quelques chavirages nous nous sommes alors assis sur la coque et avons attendus pour soufler un peu ...avant de redresser et rentrer... cet excercice m'a beaucoup servi depuis.

-
- Barreur International
- Messages : 696
- Inscription : 26 déc. 2003 22:45
- Localisation : Bretagne Arradon Baden
- Contact :
Il y a une quinzaine d'années un mini front a balayé le Sud-Ouest de Bayonne à La Rochelle pendant le Lundi de Pentecôte .
Sur le lac de Cazaux où je naviguais avec un autre cinquo ,elle a dévasté une régate régionale de Fun encadrée par le sécu habituelle , et les a tous fait chaviré..
Certains ont presque coulé tellement ils avaient embarqué d'eau , et le coup de vent a duré des heures ... un équipage (5 équipiers) a cru pouvoir rejoindre Biscarosse à la nage ..ils n'y sont jamais arrivé..
le seule fille du bord avait préféré s'agripper au Bénéteau qui flottait entre deux eaux et a réussi à s'en sortir ...
un pêcheur à la ligne et un planchiste se sont aussi noyés ce jour là ,
... seulement sur un lac...et pas loin de Maubuisson !
Sur le lac de Cazaux où je naviguais avec un autre cinquo ,elle a dévasté une régate régionale de Fun encadrée par le sécu habituelle , et les a tous fait chaviré..
Certains ont presque coulé tellement ils avaient embarqué d'eau , et le coup de vent a duré des heures ... un équipage (5 équipiers) a cru pouvoir rejoindre Biscarosse à la nage ..ils n'y sont jamais arrivé..
le seule fille du bord avait préféré s'agripper au Bénéteau qui flottait entre deux eaux et a réussi à s'en sortir ...
un pêcheur à la ligne et un planchiste se sont aussi noyés ce jour là ,
... seulement sur un lac...et pas loin de Maubuisson !
My name is Grenouille .....
James Grenouille .......
Kyrwood FRA 8031" Supa Pup " Arradon
http://www.bide-et-musique.com/song/7602.html
James Grenouille .......
Kyrwood FRA 8031" Supa Pup " Arradon
http://www.bide-et-musique.com/song/7602.html
-
- barreur National
- Messages : 151
- Inscription : 17 janv. 2004 15:46
- Localisation : Antibes-St Laurent du Var
- Contact :
En général faut rester avec le bateau, la coque est beaucoup plus visible qu'une tête à ras de l'eau!!
et cette année au programe décrassage j'ai mis entrainement dessalage
Bon malgré les années cela fait bien longtemps que cela ne m'est pas arrivé. Pas loin , mais pas arrivé

et cette année au programe décrassage j'ai mis entrainement dessalage

Bon malgré les années cela fait bien longtemps que cela ne m'est pas arrivé. Pas loin , mais pas arrivé

505,écoute au taquet, te mouilles le nez
Hé oui, Louis, on y avait mis de la bonne volonté l'autre fois, mais la tête de mat est restée à 1 mètre au-dessus de l'eau.
J'ai aussi indiqué à ma femme qu'il faudra (un jour de beau temps pas trop frais, en mai ou juin, par exemple) absolument faire cet exercice.
Ca permet de dédramatiser la situation, et de se mettre au point calmement dans ce genre de situation.
Si on attend que le gros temps s'y met, on risque de paniquer ...... et de faire des c....ies !

J'ai aussi indiqué à ma femme qu'il faudra (un jour de beau temps pas trop frais, en mai ou juin, par exemple) absolument faire cet exercice.
Ca permet de dédramatiser la situation, et de se mettre au point calmement dans ce genre de situation.
Si on attend que le gros temps s'y met, on risque de paniquer ...... et de faire des c....ies !
Eric Verplanken (FRA 8834)