Forum Cinquo

désolé , trop de vent pour un sénior ....
BTW , j'ai regardé la carte, il y a 5 fois la distance CNBPP Pornichet entre Quimiac et le CNBPP
on devrait pouvoir se donner rendez vous devant Pornic ....

Pour t'eviter une noyade certaine, je préfère que l'on prenne RDV au Croisic !!
Cook, retourne la carte, elle est pas dans le bon sens ...
pour se donner RDV à Pornic il faudrait traverser la Loire

A moins que l'on commande un kit de feux de position chez Proctor
autant naviguer de jour captain'. It's a long way from Quimiac to Pornic

Bon d'accord ...il s'agissait d'un regrettable lapsus sur les noms qui se terminent par nic ......

Bon d'accord ...il s'agissait d'un regrettable lapsus sur les noms qui se terminent par nic ......

dans ce cas RDV au Croinic

Dominique, ...nique, ...nique
Naviguait en chantant !

bon jai pratiqué déjà quelques changement de barres milanes

leur construction est simple un tube alu visé sur le champs de safran il faut
meuler la tête de safran a l'endroit des vis pour la retirer
puis on retire les vis
et pour finir on coince la pelle dans un étau de mécano et on sort le barre en la faisant tournée

elle n'est pas collé elle est dure a sortir ok mais Milanès est intelligent et a mis du démoulant...

sinon disqueuse fibre résine époxy et au boulot

et sous vide ce n'est pas dur

ça,si c'est pas du déterrage de post au buldozer,au secours
par contre,juste pour une lame de safran,je pense pas qu'il soit nécessaire d'être plombier pour ce genre de pièce
par contre cette belle photo me donne envie de poser déjà une grosse questionpar rapport à la construction de l'un de mes cinquos attendant sa restauration pendant l'hiver,le terrible ya-za 5039(et non5339,faudra corriger les posts) dont la construction était vraiment innovante à l'époque avec calcul du moment d'inertie,ce bateau à laissé pas mal de monde dans les choux à l'époque,et comme dit plus haut il va être restauré comme neuf en bonne partie par son constructeur JM Barat
même actuellement;même à son fils,il ne dévoile pas tout ses petits secrets

Le moment cinétique du 5039

Marcel m'a en effet raconté la construction du bateau. Après le travail, il filait droit au chantier me disait-il et ce n'est qu'en sa présence que le travail de construction se faisait.
Il s'était fait conseiller par un polytechnicien de Lyon, d'un nom proche de Lambolley (je ne suis pas du tout sûr), qui avait mis au point un moyen de mesurer le fameux moment cinétique du bateau.
Marcel m'a montré la technique pour mesurer cela. Il disposait de deux supports en métal qui permettait de faire reposer le bateau par les côtés vers les cadènes de haubans en fait le bateau est suspendu.

Le principe consiste à faire se balancer le bateau une première fois sur l'une des deux positions possible pour suspendre le bateau, de compter le nombre d'oscillations avant l'arrêt du balancement, puis de répéter l'opération sur la seconde position.

Enfin par un calcul savant (évidemment) on en déduit le moment cinétique de la coque.

Pourquoi construire un bateau au moment cinétique le plus faible ? C'est évidemment la question que j'avais posé au champion et il m'a expliqué que cela réduisait le tanguage et que par conséquent le haut du gréement était beaucoup moins perturbé par ce que le balancement avant arrière était bien plus court que pour un bateau au moment cinétique "normal".

Pour Marcel, les adversaires ont mis deux ans à comprendre pourquoi le 5039 était si supérieur aux autres bateaux - et ce sont les anglais qui ont ensuite construit des bateaux équivalents. J'ai eu l'occasion d'échanger sur le sujet avec le père Parker, au début des années 2000 quand il est venu au CVP, et il m'a confirmé que la construction de ses bateaux avait évolué pour alléger énormément les extrêmités des coques tout particulièrment des caissons.

L'expert de la mesure du moment cinétique est Alain Bujaud qui le fait pour la série des Finns. Il est outillé avec des instruments et un programme informatique pour le faire.

Voilà un petit "moment" d'histoire

salut JP etmerci de cette réponse car j'en dépouvre encore un peut plus
bref,j'aimerais connaitre les différences à la sortie,que ce soit un bateau où comme le sujet l'indique les différrences entre un bateau comme le ya-za et des bateaux moulés selon la technique sous vide imposant toute une tuyauterie pour mouler sous vide
si je me trompe pas,dans la technique sous vide,la résine est injectée et va là où elle veut bien aller,alors que la méthode ancienne,c'est la personne qui effectue le moulage qui gère sa quantité de résine au pifomètre près
de toute façon,ya-za était sorti bien trop léger déjà à l'époque ce qui permettais justement par l'ajout de plomb de réduire le moment d'inertie,et donc avoir une coque adaptée selon le temps;petit où gros
maintenant,pour une lame de safran où une dérive,je pense qu'un lammelé/collé dans les bonnes essences juste recouvert d'une stratification+peinture sont amplement suffisant sans faire sous vide
PS;40 ans après la construction de ce terrible ya-za,je pense qu'il y à pas mal de choses qui me semble pas avoir trop changé où sans plus sauf certains qui préfèrent le kilo de poulie harken au kilo de plomb pour avoir les bateaux au poids de jauge réglemtaire

Tu as toujours ton problème de barre coller ? J'ai déjà modifier 2 safran de ce genre je peut te faire la modifier si tu as envie...